Santé

6 résultats

Piétons andins circulant à côté d’un autobus à l’arrêt.

Le trafic automobile asphyxie les métropoles andines

La circulation routière pollue fortement l’atmosphère des agglomérations andines, avec des émissions très nocives pour la santé, selon les spécialistes de l’IRD et leurs partenaires boliviens. Ils recommandent d'évaluer désormais les risques sanitaires selon la dangerosité des particules émises...
Montage photo avec paysage de plantation d'avocatiers et, devant, une image détourée de papillion monarque.

L’or vert mexicain menace agriculteurs, écosystèmes et papillons monarques

Les scientifiques de l’IRD et leurs partenaires mexicains étudient l’impact du remplacement des cultures vivrières par des plantations d’avocatiers au Mexique. Ils pointent les risques que font peser l’usage mal encadré des pesticides pour la santé des agriculteurs et pour l’environnement à...

Particules fines : le potentiel oxydant, indicateur de leur nocivité

En matière d’effets sur la santé, la taille et la quantité des particules fines ne font pas tout. Leur réactivité doit aussi être prise en compte. Deux nouvelles études réalisées par des scientifiques de l’IRD et de l’Inserm à l’université Grenoble Alpes viennent en effet confirmer l’utilité de...

Le virus de la dengue manipule les phospholipides

En croisant leurs compétences en infectiologie et en métabolomique, des chercheurs sont parvenus à décrire comment, lorsqu’il infecte les moustiques du genre Aedes, le virus de la dengue modifie les voies de production des phospholipides, des molécules constitutives des membranes des cellules.
Coronavirus

Covid-19 : la nécessaire stratégie One Health

Si la pandémie se poursuit, le risque que d’autres animaux se trouvent infectés par le Sars-Cov-2 augmentera, multipliant les possibilités de mutation du virus et la probabilité que les animaux participent un jour à la propagation du virus. La lutte contre le coronavirus passe donc par une approche...
pollution-aerosols

L’impact sanitaire des bioaérosols

Des recherches mettent en lumière le rôle jusqu'ici peu connu des particules fines d'origine biologique dans la pollution atmosphérique. Certaines peuvent renforcer ou diminuer l’impact sanitaire des polluants chimiques. Leur prise en compte, dans l'évaluation de la qualité de l'air, s'impose.